« Type XXI 3817 | Main | Décès d'Andy Rihs »
mardi, mai 29, 2018
Patrouille des Glaciers 2018
En 2016, TAG Heuer annonçait avoir été choisi pour être Chronométreur Officiel et Montre Officielle de la Patrouille des Glaciers, la plus célèbre des courses militaires internationales de ski alpinisme organisée par l’armée suisse et ouverte également aux patrouilles civiles. La course se caractérise par la longueur et l’altitude du profil du parcours ainsi que par les exigences extrêmes du milieu alpin. Organisé tous les deux ans, cet évènement unique en son genre rencontre un succès grandissant, avec plus de 5'000 coureurs y participant chaque année. Deux parcours sont proposés : l'un reliant Zermatt à Verbier, l'autre Arolla à Verbier. Pour cette édition 2018, qui a débuté le 17 avril et s'achèvera le 21 avril, l’horloger suisse soutient également l’équipe Raiffeisen, composée de deux équipes masculines et deux féminines.
Parmi les coureurs, une Amie de la Marque, l’athlète d’endurance Emily Vaudan, vainqueur de nombreux trails, et également gagnante de la Petite Patrouille des Glaciers en 2016. Elle fait partie de ces athlètes engagés et inspirants, dotés d’une grande qualité humaine et habitués à repousser leurs limites dans des environnements extrêmes.
« La Patrouille des Glaciers est une course mythique en Suisse. Je suis particulièrement fier que l’Armée Suisse ait choisi TAG Heuer comme partenaire, et de pouvoir en même temps soutenir les patrouilles Raiffeisen. Ce sont des équipes d’athlètes talentueux et passionnés, qui aiment la montagne, le sport, et donnent le maximum pour atteindre le sommet ! TAG Heuer leur souhaite bonne chance pour cette édition 2018 », avait déclaré Jean-Claude Biver, CEO de TAG Heuer et Président de la Division Montres de LVMH.
Pour l’occasion, TAG Heuer a développé une montre en l’honneur de cette course mythique. La TAG Heuer Formula 1 Edition Spéciale Patrouille des Glaciers. Un modèle sportif et sobre, avec un cadran gris habillé du logo rouge de la PDG. Le bracelet en caoutchouc noir offre un maximum de confort lors d’utilisation en conditions extrêmes. La montre est disponible en Suisse sur le site e-commerce de la marque.
Dans la lignée de « SpaceWalker », le tourbillon satellitaire dédié à la mission spatiale de 1965 d’Alexeï Leonov, Louis Moinet dévoile une deuxième création qui relate l’autre grande aventure de l’astronaute russe. En 1975, la mission Apollo–Soyouz est la première mission spatiale commune entre l’Union Soviétique et les Etats-Unis d’Amérique. Soyouz 19 part du Cosmodrome de Baïkonour, Apollo de Cape Canaveral en Floride, se rejoignant pour le premier rendez-vous spatial de l’humanité.
Le 17 juillet 1975 à 19h20, seule l’écoutille de Soyouz 19 le sépare d’Apollo, les deux vaisseaux étant arrimés dans l’espace. En déverrouillant la trappe et en serrant la main du Commandant Thomas Stafford, Alexeï Leonov ouvre un monde nouveau, de paix et de coopération.
Skylink symbolise le lien qui s’est subrepticement tissé entre deux hommes, représentant leur nation, au beau milieu de l’espace. © Louis Moinet
Le cadran de Skylink dépeint cette immensité cosmique. Un procédé graphique, exclusif à Louis Moinet, permet de créer des couleurs qui rappellent une nébuleuse, cet amas de gaz et de poussières interstellaires, que parcourent deux aiguilles « Goutte de rosée » propres à Louis Moinet. Les index tridimensionnels surélevés qui s’étirent sur ce cadran donnent une profondeur réelle à la pièce, un côté architectural renforce leur finition très particulière. Leur flanc présente une partie diamantée et satinée, afin d’amener l’éclat le plus profondément dans le cadran et donner une étincelle de vie à la pièce.
Le contraste de couleurs est accentué par la laque posée sur chaque index. Les secondes s’égrènent sur leur compteur de 9 heures dont la fine pellicule métallisée donne une variation de couleur à la lumière, allant du bleu nuit au violacé.
A 3h vient se nicher une particularité propre à Skylink. Là, une micro capsule emprisonne pour l’éternité un fragment de la toile de polyamide qui protégeait Apollo lors de son retour sur Terre le 24 juillet 1975, dite « feuille de Kapton », ainsi que des fibres du gant de scaphandre russe Sokol K. Ce scaphandre avait été utilisé pour la première fois en 1973 à bord de Soyouz 12 et est toujours employé de nos jours.
Cette série très limitée Skylink se porte sur un bracelet bleu nuit ou noir et sera composée de 19 pièces en or blanc, 19 en or rose et 75 en acier, en hommage à l’année 1975.
voir plus copie de rolex et Rolex Cellini montre